C’est la part des Français qui considèrent que « tout le monde peut connaître une période de chômage au cours de sa carrière », selon l’Unédic. Une majorité estime également qu’il n’y a pas de « chômeur type », que l’on pourrait décrire sur des critères de genre, d’âge, de diplôme ou de lieu de vie. Les chômeurs sont avant tout perçus « comme sujets d’une situation subie (78 %), voire d’une fatalité, un coup du sort (67 %) qui abîme et fragilise ».