C’est la part des salariés qui considèrent que le principal avantage de travailler dans un bureau est la possibilité d’échanger avec ses collègues, selon une enquête menée en mars par la Fondation Jean-Jaurès et le cabinet de conseil Selkis avec l’Ifop. Dans cet échantillon, 60 % des salariés travaillent en permanence ou au moins une partie du temps dans un bureau, 21 % effectuent ses tâches dans un open space, et 16 % travaillent en flex office. Chez les moins de 35 ans, une très large majorité (67 %) pense que la configuration de leur espace de travail a une influence sur leur santé. Interrogés sur les inconvénients de la vie de bureau, un tiers des salariés placent en tête l’obligation de présence, même lorsqu’elle n’est pas nécessaire. Plus de la moitié de ceux qui ont déjà télétravaillé pendant la crise sanitaire estiment qu’à l’avenir, la moitié de leur temps de travail s’effectuera au bureau et l’autre en télétravail.