Ancien dirigeant d’une PME de 160 personnes, dont il a voulu faire un laboratoire social, l’auteur livre cinq propositions plus ou moins innovantes pour réformer l’entreprise.
Il préconise l’élection du Pdg par les actionnaires et les salariés. Il est favorable à l’adhésion obligatoire des salariés à un syndicat, à leur consultation sur les décisions stratégiques avec droit de veto et à la notation des cadres par leurs collaborateurs. Le tout pour en finir avec le mythe de la finalité financière de l’entreprise. « La finalité de l’entreprise est avant tout sociale et sociétale, l’argent est un moyen, rien de plus. »