Une vingtaine d’associations et de syndicats – CGT, SNJ (journalistes), et aussi la Ligue des droits de l’Homme, Transparency International France, etc. – ont adressé, le 3 mars, une lettre ouverte à François Hollande pour réclamer un statut protecteur en faveur des salariés lanceurs d’alerte. Ils demandent une procédure anonyme de transmission des informations, une pénalisation des entraves ou représailles. Ils lancent une campagne contre la directive européenne sur le secret des affaires, débattue au Parlement européen le 28 avril.