L’agilité et la flexibilité réclamées par l’entreprise moderne disent à l’envi que la stabilité n’est plus un horizon, ni pour les salariés, ni même pour les organisations. Cette vulnérabilité des agents économiques n’est cependant pas forcément synonyme de précarité. La résilience individuelle comme celle des entreprises est une force qui repose sur la dynamique des acteurs. Sous la direction de professeurs, l’un en psychologie et l’autre en sciences de gestion, les auteurs explicitent à la fois les paramètres de cette fragilisation et les moyens d’y parer par une culture de la résilience.