Ouvert à signature par l’UIMM jusqu’au 5 octobre, l’accord sur l’emploi négocié dans la branche de la métallurgie avait déjà, la semaine dernière, été approuvé par quatre syndicats (CFDT, CFE-CGC, CFTC, FO). En application de la loi Travail, ce texte autorisera les entreprises de la branche à négocier une modulation du temps de travail sur trois ans, en échange de contreparties qu’elles devront définir. Une possibilité ouverte pendant cinq ans, puisque cette flexibilité est conçue comme une expérimentation. Les partenaires sociaux devront notamment évaluer les incidences de ce type d’organisation sur l’emploi.