Les négociations sur cet épineux sujet, reprendront officiellement le 1er mars à partir d’un nouveau projet de la direction. Enclenchées fin octobre 2016, les discussions avaient été houleuses avec les élus (Unsa, CGT, Sud, CFDT), puisque le texte présenté visait à priver de facto 30 000 cadres et agents de maîtrise du paiement des heures supplémentaires. Faute d’accord, le groupe ferroviaire public avait déclaré, le 12 décembre dernier, vouloir s’appuyer sur la nouvelle convention de branche pour proposer aux salariés éligibles de passer au forfait-jours. Sans concrétisation à ce jour, selon les syndicats.