Un accord signé par cinq syndicats (FO, CFDT, CGT, CFE-CGC et CFTC) organise un aménagement du temps de travail pour convenance personnelle. Parmi les mesures négociées, un temps partiel temporaire de droit d’une durée maximale d’un mois par an est prévu. Le salarié peut compenser la perte de salaire par l’utilisation de jours issus du CET. Le recours au travail à domicile est également possible pour les salariés « rencontrant des problèmes particuliers dans leur vie privée », pour une période de trois mois maximum, renouvelable une fois.
Un projet d’accord sur le dialogue social reconnaît que l’activité syndicale est une étape possible dans le parcours professionnel d’un salarié et que les compétences qu’elle permet d’acquérir doivent être valorisées. Formation, mobilité professionnelle et VAE adaptées aux représentants du personnel sont prévues.
Un accord sur l’emploi des seniors prévoit de développer le tutorat pour transmettre les « compétences critiques » identifiées par la GPEC. Tous les salariés ayant plus de 50 ans sont invités à se porter volontaires.