La CGT du groupe chimique Kem One (1 800 salariés en France), en redressement judiciaire, espère que l’État soutiendra sa proposition de reprise (via une entrée au capital à hauteur de 35 %) avant la date butoir du 9 septembre. Outre ce projet, le tribunal de commerce de Lyon examinera les offres de huit autres candidats le 26 septembre.